Nota bene: L'auteur n'a pas eu la chance de jouer à Pokémon Sun ou Moon, ce qui lui donne envie de se couper les veines. Voila, donc tout ce que je dis sur Alola est a bases de (mauvaises) recherches. Encore désolé pour les trucs pas logiques, et n'hésitez pas à me corriger !
Voici l'histoire d'un couple à Illumis, vers 2474. L'homme, Marius Fournier, est responsable marketing pour une chaîne de plats préparés kalosienne et la femme, Kalea Homoi, est en congés maternités depuis quelques mois, car enceinte jusqu'au cou. Tous les deux ont un peu plus de vingt-cinq ans. Le couple vit heureux, Marius travaille beaucoup, car le salaire de Kalea est réduit durant ses congés, et elle est aux anges de voir son homme si attentionné et travailleur pour elle et son futur fils. Ils vivent dans un deux pièces un peu excentré, mais assez haut pour avoir une jolie vue sur la tour Prismatique et décoré un peu trop lourdement par la maîtresse de maison avec des bibelots de sa région d'origine, Alola. Alola qui lui manque d'ailleurs. Parfois, elle regarde ses petits masques en bois inspirés des tikis quelle avait vus, quand elle était encore petite, et rêve des plages, des parfums, de l'air pur même en pleine ville... Elle s'y voyait bien élever son enfant. Et peu à peu, au fur et a mesure que sa grossesse avançait, elle devint de plus en plus rêveuse, et triste par la même occasion. Vers le sixième mois, elle était presque au portes de la dépression, pourtant soutenue par l'amour de son amant, mais poussée au désespoir par ces putains d'hormones. Puis vint le début du mois d'Août. D'après les docteurs, il lui restait un demi mois. En revanche, un demi mois ne s'était pas écoulé quand elle eu de très douloureuses contractions. Elle appela Marius et lui dit, sans réel tact: "Il est déjà là. J'y vais". Alors qu'il paniquait, hurlant presque durant sa réunion, elle raccrocha, pris les clefs de l'appartement et appela un taxi via sa montre, avec l'option "bébé arrive", qui, sans coût supplémentaire, permet d'avoir la certitude d'obtenir un taxi dans les deux minutes qui suivent, et qui prévient l’hôpital le plus proche de l'arrivée d'un femme sur le point de donner la vie. Cinq minutes plus tard, elle arrivait à la maternité. Trois heures plus tard, après avoir poussé pendant longtemps -car dans le futur, on a pas mis au point l'accouchement express, faudrait pas rêver non plus, mais au moins il ne fait plus mal- naissait un petit garçon au cheveux clairsemés, de trois kilos cent. Assez gros pour un prématuré de deux semaines. Le visage de la jeune maman s'était illuminé dès qu'elle avait vu son enfant. Elle le trouvait déjà beau. Et son père aussi était aux anges. Pour la première fois depuis des mois, le jeune couple était heureux. Mais les six mois ayant suivis, eux, furent compliqués. Adriel (oui, ils l'avaient appelé Adriel) était plein d'énergie. Il bougeait beaucoup et ennuyait les voisins avec ses cris. Kalea, elle, bien que bien moins triste, avait encore le mal du pays. Elle en parlait tous les jours. Marius aurait adoré partir, mais il avait peur. Il avait un travail ici, avec des perspectives d'évolution, et il ne parlait pas la langue d'Alola. La conversation en restait souvent là, au désespoir de la jeune maman. Puis, un an plus tard, la situation avait changé. Adriel avait un an et demi. Il marchait déjà, commençait à parler un peu de kalosien et un peu d'alolien grâce à sa mère, et ses parents lui avaient laissé leur chambre pour s'installer dans le salon. Marius, lui, n'avait toujours pas même entrevu une évolution dans son travail, ce qui le déprimait à son tour. Les disputes étaient plus fréquentes, entraînant parfois les pleurs du bambin. Cela continua deux mois environ. Leur relation était tendue, l'ambiance à la maison mauvaise... Adriel, lui, semblait devenir de plus en plus morose. C'est alors qu'un ami du couple eut une idée. Maria, l'amie en question, leur proposa de passer une semaine de vacances ensemble pour sauver leur couple, et d'envoyer le jeune Adriel rencontrer sa mamie, a Ho'ohale. Et c'est ce qu'ils firent. Pendant que ses parents étaient en train de raviver la flamme de leur amour, le petit rencontra sa mamie et son papi, et surtout, il rencontra Alola. Il passait ses journées à la plage avec ses grands parents, il ne se nourrissait que de compotes et de jus de fruits exotiques, et il découvrait les Pokémon, avec qui il n'avait jamais eu de réel lien. La vielle lougaroc de ses grand-parents était son doudou, il l'adorait. Il adorait Alola. Si bien que, une fois de retour à Kalos, il n'avait qu'un mot à la bouche: "Alola". Ce passage d'une semaine avait sauvé la vie du couple. Pour la première fois depuis la naissance d'Adriel, tout allait bien. Et ce bonheur à été assez durable, à priori. Peu après, Kalea et Marius on trouvé un trois pièces vers le centre de la capitale, au deuxième cette fois-çi. La jeune femme s'était trouvé un nouveau travail: elle était devenue restauratrice. Cuisinière en fait, au Tiki, un petit bistro alolien, qui faisait de délicieux plats épicés. Son compagnon, lui, avait abandonné son travail avec une lettre de recommandation de son boss, et avait pris une année sabbatique avec sa femme, durant laquelle il à appris l'alolien avec elle. Et ils s'étaient aussi mariés, après 8 ans de vie commune, à Alola. Toute la famille de Kalea était présente, ainsi que les parents de Marius. Une fois de retour à Kalos, Marius à endossé le rôle du parfait homme de foyer durant un an, et il le serait resté, si il n'avait pas eu la chance d'être engagé en temps que directeur artistique dans une agence de communication kalosienne assez importante. La passion pour les diverses formes d'art (culinaires et visuels par exemple) du couple déteignit d'ailleurs sur leur enfant. Vers ses trois ans, il commença à beaucoup dessiner et a chanter, et il parlait déjà très bien le kalosien, et connaissait quelques choses en alolien. Il était aussi très curieux et dynamique, et adorait aller chez ses grands parents l'été. Puis vinrent les cinq ans d'Adriel. L'année où ils avaient enfin pris la grande décision: partir vivre à Alola, car même si tout le monde avait une chambre, l'appartement restait petit. Tout le monde s'y sentait à l'étroit. De plus, tout le monde dans la petite famille aimait la région, parlait la langue... Ils le savaient: ils devaient y aller, et que tout serait bien une fois là-bas. Mieux qu'à Kalos. C'est ainsi que, le 25 Octobre 2478, les Fournier finirent leurs cartons (car dans le futur il y a encore des cartons, oui), et embarquèrent dans une navette sous marine à direction d'Alola.
Les premières années furent simples, peu mouvementées, et joyeuses dans l'ensemble. Adriel grandissait bien, et vite. Ho'ohale avait été une oasis pour la famille. Alors que ses parents avaient ouvert un restaurant de cuisine Kalosienne/Alolienne qui marchait décemment bien, le petit garçon profitait de la proximité de son appartement à la plage: il y allait quasiment tous les jours. L'école se passait assez bien aussi, même si il avait un plaisir tout particulier en arts plastiques et en mathématiques. Ce scénario continua à peu près sept ans. Adriel avait douze ans, et quelques changements s'étaient opérés: si la vie de ses parents restait à peu près la même, Adriel avait découvert trois choses: ce que ça faisait d'avoir un Pokémon à soi avec l'adoption d'une rocabot par ses parents, les joies des logiciels sur son PC, avec "créer des jeux en flash" AKA le logiciel sur lequel il à passé le plus d'heures de sa vie (avec celui de sa tablette graphique), et surtout la joie procurée par le surf avec l'aide de son grand-père. Taigu Homoi était surfeur dans sa jeunesse. Il a empoché quelques prix régionaux, et vers ses tentes ans s'est mis à enseigner sa discipline, mais seulement aux gens qu'il estimait aptes. Adriel, en plus d'être extrêmement proche de son papy, avait eu la chance d'être d'une conception idéale pour ce sport. Long, assez musclé et pourtant léger, les conditions étaient remplies à la perfection. C'est ainsi que le grand-père entraîna presque tous les jours son petit-fils à l'aide de son pskykokwak. Petit-fils qui finit par devenir bon d'ailleurs. Il devint aussi très proche du Pokémon de son grand-père. La vie d'Adriel se résuma donc pendant toute la suite de son adolescence à "surf, études, sport, ordinateur". C'est comme cela qu'il en vint à créer à ses seize ans un jeu vidéo simpliste, mais dont il était très fier: Gold Line. Un jeu en coopération ou deux joueurs devaient tracer une ligne en même temps sans jamais dépasser. Ses parents en devinrent d'ailleurs étrangement fans pendant une semaine. C'est ainsi qu'Adriel se décida qu'il entrerait dans une école d'art multimédia après le lycée. Cela voulant aussi déménager vers Neapolis, les meilleures écoles se trouvant là bas. Entre temps, Adriel, dix-sept ans, se met en couple avec sa meilleure amie, Linea, elle aussi fan de surf, mais plus littéraire qu'autre chose. A dix-huit ans, enfin, il obtint son diplôme du secondaire, avec mention bien grâce à un 38,5 en mathématiques. Toute la famille était fière de lui. C'est aussi à ce moment là que son couple commença à ne plus aller très bien, car il ne regardait jamais sa belle avec un regard amoureux, et Linea ne se sentait "pas aimée". Ils finirent par se quitter, de façon assez douce, mais ce qui enleva à Adriel l'envie de se remettre en couple, et qui le fît se questionner sur son orientation sexuelle. Mais le vrai événement tragique n'était pas la séparation insignifiante de ce couple, mais la mort de son grand-père de 82 ans, d'une intoxication alimentaire. Le jeune homme fût très touché par la mort de son papy adoré. Sa grand-mère, noyée par le chagrin, donna à son petit-fils le Pokémon de son grand-père, le psykokokwak qu'il utilisait pour donner des leçons de surf, qui avait entre temps évolué. Il le surnomma plus tard Mr.Plouf. Le rocabot de ses parents, lui aussi, avait évolué. Elle avait d'ailleurs eue une portée de rocabots. Il décida d'en adopter une, qu'il appela Lola. Entre l’obtention de son diplôme et ses vingt ans, le jeune homme prit une année sabbatique, pour surfer et aussi explorer un peu l’île de son enfance. Il parcourût la région dans sa quasi entièreté, faisant des combats de Pokémon de temps en temps, bien que peu motivé par l'idée d'obtenir des badges officiels: en effet, dresseur n'était que très peu sa vocation. En faisant un tour au parc volcanique, non loin de sa ville, il captura éventuellement une tritox, qu'il nomma Illua. Elle finit par évoluer en Malamandre, Pokémon que le jeune homme trouvait particulièrement beau. Puis Adriel eut vingt ans. C'est à ce moment là que son dossier fût retenue dans l'école qu'il visait à Neapolis, et qu'il réussi à trouver une colocation sympathique -quoi que quelque peu excentrée- dans la même ville. Vinrent le jour des "au revoir" à sa famille, deux semaines avant son anniversaire. Toute la famille d'Adriel était au quai de la navette pour Rosetta. Sa mère lui dit en kalosien à quel point elle le trouvait beau et était fière de lui, et son père pleurait tellement qu'il ne pouvait parler. Il embrassa tout le monde, en particulier sa grand-mère, qui retenait ses larmes. Triste de quitter son île ? Oui. Mais excité par la découverte de sa nouvelle vie ? Encore plus.
"Bienvenue à Neapolis, terminus. La température extérieure est de vingt-cinq degrés et le taux d'humidité est..." est la première chose qu'a entendue Adriel en arrivant à destination, si excité d'être arrivé qu'il en courrait dans la gare, ce qui faisait produire à son pendentif muni d'une grosse perle couquiperl un bruit assez agaçant de hochet pour bébé quand elle se cognait contre les coquillages qui le composaient. Il regarda un plan de la ville pour regarder où son chez soi se trouvait, et eut un choc quand il se rendît compte que sa colocation était bien plus excentrée qu'il le croyait. Il poussa un soupir long: au moins, il il n'allait pas perdre des jambes musclées avec toute cette marche, se dit le jeune homme. Après une longue marche, il arriva enfin devant le 52 Impasse Rednow. La ruelle était assez sombre, mais non pas dénuée de charme. On pouvait entendre des Pokémon se balader dans le noir. Le quartier était peu peuplé, et bien moins animé que le centre ville. Il remarqua que chaque appartement de son immeuble avait l'air de posséder un balcon, ce qui lui fit assez plaisir. Il entra le digicode, toqua à la porte, et une jeune femme ouvrit.
"Bonsoir Adriel ! Moi, c'est Héloïse. Ravie !"
La jeune femme avait un joli sourire, des longs cheveux noirs de jais et semblait très, très athlétique. Elle devait avoir un ou deux ans de plus qu'Adriel, et il savait déjà qu'elle était en école d’ingénieur. Il se présenta donc, entra, et s'installa dans sa chambre. Bien que peu lumineuse, elle lui plaisait. Il voyait déjà comment il allait la décorer: il pensait peindre des coquillages au dessus du lit, ou des lignes aux couleurs d'un coucher de soleil. Il jeta sa valise au sol, sortit Lola de sa pokéball, et tomba sur le lit.
"[color=#ff6666Pas confortable, mais spacieux.[/color]"
Une fois ses affaires rangées, Adriel se dirigea vers le salon avec son ordinateur portable à la main. Héloise lui demanda si il avait déjà mangé, question à laquelle le jeune homme répondit par un mensonge: "Oui, j'ai mangé dans la navette". Il se posa sur le canapé d'angle, près de la porte fenètre qui menait au balcon, et mis son casque offert par son père avant son départ. Il envoya un message à ses parents, qui lui manquaient un peu, mais ça allait passer.
"Hola. Je suis bien arrivé à Neapolis. La chambre est très agréable et l'appartement très sympa. On se revoit dans quelques mois. Gros bisous".
Comment vous dire à quel point il à effacé ce message tant il était nias. Il à donc allumé son logiciel de dessin numérique, et son clavier est devenu une tablette graphique. Il empoigna donc son stylet et se mit a dessiner. Il resta au moins une bonne heure concentré avant que sa colocataire le sorte de sa bulle en lui disant qu'elle allait dormir. Le jeune alolien lui souhaita bonne nuit, et ne tarda pas à faire de même. Sur son écran d'ordinateur, une photo de lui photoshopée avec les cheveux couleur rouge et quelque-chose d'écrit: "Acheter une couleur pour cheveux secs". Il passa ses trois premières semaines de vacances avant son entrée dans son école à visiter la ville, à passer du temps avec sa colocataire (plutôt sympathique) et à chercher un coiffeur pas trop cher. Il le trouva en sa propre personne, dans sa salle de bain. La ville lui plaisait, et malgré son Rosettien approximatif il n'avait pas de soucis de communication. Un mardi, il avait reçu un colis de sa mère: ses pots de peintures chéris, ses pinceaux, et quelques toiles vierges. Il était aux anges. Il installa une nappe sur son lit, et y posa sa jambe. Il passa ainsi plusieurs heures à la peindre de fins motifs asymétriques, ce qu’Héloïse trouva étrange. Durant ses longues semaines d'été, quand il ne sortait pas vers le centre-ville trop lumineux, il restait enfermé dans sa chambre à dessine. Peu à peu, il remplit cette dernière et son pc de peintures, de codages, de courtes animations. Puis, quelques mois plus tard, quelque-chose arriva. Héloïse, comme à son habitude, préparait le repas, quand elle avoua à Adriel qu'elle allait devoir partir pour la cité spatiale, afin de continuer son cursus. Pour le jeune étudiant, c'était un énorme problème. Bien qu'il eut trouvé un petit job dans un magasin de vêtements, il n'avait pas l'argent pour payer seul la colocation. Ils discutèrent longuement d'une solution. La meilleure semblait de trouver une autre colocation, ce qui allait être difficile. Adriel tenta de passer une annonce via le panneau holographique à l'entrée de son école, qui ne donna rien. Il n'avait plus que quelques semaines avant le départ de sa colocataire. Ce stress le rendait assez nerveux, irritable. Il ne sortait plus trop, même pour promener ses Pokémon. Puis un jour il eut de la chance. Alors qu'il observait les offres de colocation internet, il aperçut une annonce pour un appartement, assez peu cher et dans le même quartier un peu miteux que celui qu'il occupait actuellement. Il cliqua dessus et la l'inspecta brièvement: quelques secondes plus tard, il composait le numéro. Quelques heures plus tard, il allait visiter. L'immeuble n'était pas superbe. C'était petit. 40M² au plus. Un salon/chambre/salle à manger, une cuisine, une salle de bain et des WC. Il avait l'air d'être la seule visite d'aujourd'hui.
"Il ne plait pas", dit le propriétaire. "Je n'arrive pas à le louer, même à des étudiants".
Sauf que cette fois-ci, il avait plu. Et Adriel déménagea, après avoir souhaité bonne chance à Héloïse pour ses études. Au début, l'alolien n'eut aucun problème à payer le petit loyer. Ses économies et son job y passaient, malheureusement. Puis, il pensa à retrouver un colocataire, se sentant seul, même avec ses Pokémon. Il posta donc une annonce, mais sur internet cette fois-ci. Une réponse arriva, moins de quatre jours après. D'après le message, c'était un Kalosien de son âge, avec un nom bizarre, comme soixante-sept ou quelque-chose comme ça. Il avait l'air assez sympathique, quoi qu'assez discret sur sa vie. Peu importait pour Adriel: deux conditions étaient réunies. Primo: il pouvait payer sa part du loyer. Deuxio: il était aussi en Art/Multimédia. Bon, il avait eu l'air assez gêné quand il à su que le seul lit disponible était un lit double, mais il avait l'air de s'être fait à l'idée. L'affaire était conclue, et Adriel était jouasse. D'après le message, Trente-Huit (ou juste Mr.Chiffre, comme il l'avait appelé avant qu'il n'arrive à Neapolis et qu'il retienne enfin son nom) serait là dans cinq jours, soit deux semaines avant son entrée en école. Il était de nouveau de bonne humeur. Durant ses cinq jours, Adriel accorda une grande partie de son temps et de son affection à ses pokémons, ce qu'il avait l'habitude de faire à Alola mais qu'il n'avait pas forcément fait depuis son arrivée. Heureusement pour lui, ses Pokémon étaient dans des Luxe Balls. Sa mère lui avait conseillé d'en prendre, bien que chères, car plus agréables pour ses bébêtes. Elle savait que son fils n'aurait pas le temps de prendre soin de ses Pokémon, c'est pour cela qu'elle avait insisté pour qu'il investisse dans ces balles onéreuses. Puis ce fût le jour J. Adriel ne tenait plus en place, il n'arrivait même plus à peindre. Il avait commencé à peindre sur le grand mur du salon (car le propriétaire était OK, étonnamment), et il y avait passé toute la journée précédente. Il était torse nu, en short, avec ses cheveux récemment devenus roses et de la peinture partout sur ses bras et mains. Alors qu'il avait fait une pause boisson, il était déjà assez tard dans l'après-midi. Peut-être 17 heures, quand la sonnerie retentit enfin. Il enfila un débardeur, courut vers la porte et l'ouvrit avec un grand sourire. Quarante-Deux était la, avec un de ses amis. Adriel pris alors son ton gentil mais sarcastique et s'exclama:
" Wow, je t’attendais plus Quatre ! " | |