« ton roméo c'est ton boulot » △ JULIA

Julia est extravertie.
Julia est spontanée.
Julia part au quart de tour.
Julia est une pile électrique.
Julia est relax.

Cette jeune et belle femme semble fière, sure d'elle et méchamment curieuse. Pourtant, on peut remarquer ce petit sourire narquois au coin de ses lèvres. A quoi peut-elle bien penser ? Quelle nouvelle idée saugrenue est-elle en train d'imaginer ? Julia on l'aime bien, elle est rigolote à sa manière et travail bien. Mais elle est très butée et n'en fait qu'a sa tête. Elle suit les ordres mais c'est elle qui décide de quand, où, quoi et comment son travail est géré. Julia, c'est le petit ouragan de l'entreprise. Pourtant elle ne fait pas trop d'histoire, on aime juste l'observer de loin. Elle est pas du genre optimiste. "Et si..." ou bien "imagine ça tourne mal...". Elle pense à tout Julia, elle calcule trop. Parfois elle a tord, parfois elle a raison. Et c'est le genre de fille qui n’hésite pas à lancer, d'un air taquin, "je te l'avais dis !"

Un tir misogyne ? Pas de problème, Julia saura gérer ça. Comment ? Envoyez un pokemon ? C'est une blague, Julia ira dézingué le premier chapardeur de ses mains. Julia est comme ça, on répond à la violence par la violence. Le "haha t'es con" qui sort avec une bonne grosse tape sur l'épaule. Elle ne dose pas vraiment la force qu'elle y met. Mais Julia sait reconnaitre ses tords, sur un ton boudeur, certes.

Jolie rose aime être seule. Le boulot d'équipe n'est pas son dada. Mais on s'y fait. Elle est productive mine de rien, malgré ses caprices. Pourtant, elle est dotée de quelques secret qu'elle se garde bien de communiquer. Aime t-elle vraiment la solitude ? C'est une célibataire après tout. Elle n'y crois plus à l'amour et semble s'en foutre devant tout le monde. Est-ce vraiment le cas, Julia ?
Il arrive qu'on ne la voit pas, mais c'est normal. Personne ne s'inquiète. Elle peut très bien passer sa vie dans les couloirs ou son bureau. Surtout dans son bureau en fait. On est pas étonnés de la voir s'enfermer. Oui, oui elle va bien. Elle a décidé de bosser aujourd'hui. Alors après avoir emmagasiner tout le retard dû à sa fainéantise, elle termine le boulot en trop. Le truc, c'est qu'en début de semaine, vous avez trois jours de paix environ, parfois juste le lundi et le mardi. Puis quand c'est jeudi ou vendredi... vous allez passer un sale quart d'heure. Il lui arrive de sortir du bureau en grommelant qu'elle a besoin d'une pause. Ne lui dites surtout pas "ben tu vois, si t'avais fait le bulot dans les temps..." Ou alors courrez vite. Elle adore faire des petites remarques ou des pics, rien de méchant. C'est sa façon de dire qu'elle vous apprécie... ou pas. Le second degré c'est inné chez elle. Julia, c'est également le genre de femme qui prend soin des autres sans le montrer. Un peu ferme oui, mais elle l'est. Pourtant il lui arrive parfois des bricoles, mais tout le monde sait qu'on ne doit rien lui dire. Quoi ? La chouchoute du grand patron William ? Mais non voyons.

On aime ce qui finit mal. Pourquoi ? Parce que l'humain a une certaine sensibilité qui le pousse à adorer la tragédie. Pouvant observer le héros se relever et devenir plus fort. C'est plus ou moins le cas de notre Rose.

Née avec une petite cuillère en argent dans la bouche, ou presque, elle la fille unique d'un couple heureux. Depuis petite, elle a toujours été passionnée par les pokemon, les combats. Un vrai garçon manqué. Mais bien vite, elle se rendu compte avec horreur qu'elle n'était pas la meilleur au combat. pourtant elle travaillait d’arrache pied sur les cours. Que ce soit les maths, le français ou les cours de pokemon. Elle était destiné à avoir un avenir radieux, et elle aurait du être une grande dresseur avec ses résultats. Pourtant... c'était un voile. Alors plutôt que de se dire qu'elle était nulle, c'était la faute des cours selon elle. On dit même qu'elle est plus douée à jouer le pokemon elle même qu'a les dresser. Forcement, la fierté en prend un coup. Toujours à la rabaisser car elle se montrait forte mais ridicule lors des combats "amicaux" qu'on lui lançait. Ça partait vite chez le directeur. Calme toi ma Julia.

Alors tant pis, Julia ne sera pas une grande dresseuse.
Entre 18 et 20 ans, s'opère peu à peu un changement. Bien qu'elle s'était faite une raison, ca lui fendait le cœur de ne pas rendre ses pokemon aussi fort qu'elle. Non Julia, ne reporte pas tout sur tes compagnon. Elle eu son premier pokemon Venipatte en tant que jeune adulte. Et ne s'embête même pas à vouloir l'entrainer pour la force. Non, elle l'entrainait pour le plaisir, en respectant son pokemon, le faisant évoluer à son rythme. Elle a toujours demandé à ses parents à avoir un Zorua plus tard, étant petite. Mais elle a vite aimé Venipatte, Scobolide puis Brutapode.

Pourtant, elle a déraillé.
Il y a des choses qui ne s'effacent pas, ou qui prennent le temps de disparaitre. Donc, des choses à ne pas divulguer. Même ses parents ne pouvait arrêter le torrent qui déchirait leur fille. Oh.. vous voulez savoir ? Demandez lui et elle vous enverra paitre. Elle n'est pas fière de ce qu'elle pu faire, de ce qu'elle a pu être. Elle a beaucoup changé de pokemon, sans vraiment être attaché à eux. Sauf Brutapode, étrangement. Et c'est toujours le cas, elle n'accorde pas de grand amour à ces autres vassaux. Mais elle les respecte, c'est déjà ça.

A 25 ans elle se met dans le crane qu'elle doit faire quelque chose de sa vie. Rendre ses parents fière et s’épanouir. Elle était trop renfermée et pourtant... à peine arriver qu'elle se plonge corps et âme dans ce boulot. L'organisation d'Atlas. Quel choix étrange et remarquable. Elle s'en veut d'avoir infligé certaines choses à son corps, son âme. ne pouvant plus supporter qui elle avait été. Elle ne voulais pas être un déchet. Jamais plus. Et peu à peu, elle devient plus libre et affiche ce caractère distant mais taquin. Retrouvant un à un ses sens de bonnes personnes. Elle en a vu vertes et des pas mures dans l'organisation Atlas. Mais elle est resté là, tel un fidèle pion. Elle a profondément été blessé par le départ de l'ancien souverain d'Atlas qui fut vite remplacer. mais jugeant qu'elle n'avait pas à demander de compte, elle ne cherchera jamais à le retrouver ou lui parler. Surement à cause de ce qu'elle a pu vivre aussi. Travailler ça paie, même à son propre rythme. La voilà porté à de grandes responsabilités à 31 ans.
Elle a pu réaliser et faire naitre un projet de communication entre pokemon et dresseur. Cependant il faut que le pokemon réunisse certaines conditions. Puis ce logiciel intégré dans la montre Atlas a été améliorer par l'organisation. Mais Julia en reste fière, sa première invention. bien qu'elle prenne soin de ne pas trop se l'accaparer pour paraitre détacher.

On peut aussi citer le projet Dream Pic ou encore le sujet de la personne dans le coma. La création d'un hologramme représentant la personne inerte et inconsciente, pouvant "virtuellement" se balader dans les couloirs de l’hôpital. Vivre, juste un peu plus. Julia pu créer cette machine pratique en une petite boite rectangulaire reliée à des électrodes temporelles. Un grand pas en avant. ce qui lui a valu de sincères félicitations. Comment ca s'est passé ? On lui reprochait de trop penser aux pokemon/dresseurs et pas assez à l'humain. c'est vrai, Julia avait une préférence. Avait, car tout changea le jour où elle entendu à la television une terrible histoire. Une mère aimante et triste combattant le sort de sa fille tombé dans le coma. Voir cette femme ainsi lui fit remonter de terribles souvenirs, une mère affligé. Ça l'avait touché. De là, pu naitre et germer des idées. Avant, des test ont été effectués sur des personnes dans le coma, adultes. Échec, et enfin sur la petite. Autant vous dire que l'argent se faisait la malle mais... miracle. Ce fut une véritable réussite et on ne parlait que de ca pour un moment. On ne disait pas que Julia avait réussi, on disait qu'Atlas avait porté du baume au cœur. Certains se demandent pourquoi Julia fut si réceptive à tout ça. Elle qui se fiche du monde extérieur. Vous ne savez rien de Julia, là est la vraie réponse.